A week-end as a Princess

Catégories : Rencontres BDSM Homme soumis, Femdom Domination féminine
il y a 5 ans

Six heures et demie du matin. Je suis toute pelotonnée dans le lit, sur le côté, les mains entre les cuisses. Je suis bien, je ne bouge pas. Il dort à côté de moi, ronflote un peu. J’en profite pour laisser courir mon imagination. Des images me viennent, confuses, dans le demi-sommeil, j’ai chaud entre les cuisses, je me contorsionne doucement. Je l’imagine en train de m’embrasser doucement les seins, il me suçote les tétons, provoquant une douce tension. Il descend vers le ventre, lèche mon nombril, atteint mon pubis. J’écarte doucement les jambes, il pose sa langue sur mon petit bouton, l’humecte, tourne autour, l’enveloppe de la langue…

Et badaboum, il se retourne brutalement dans le lit, me heurte, son ronflement s’accentue, il m’a complètement déconcentrée. Impossible de reprendre le fil de mes pensées. Et je ne vais jamais me rendormir… Mais je suis toute émoustillée, pas besoin de vérifier pour savoir que mon minou est trempé. Et lui qui dort de tout son soûl. J’aimerais bien pourtant qu’il me satisfasse. Mais il est crevé en ce moment et je sais qu’il a plein de travail… Mais si c’est dur la semaine, je voudrais au moins me programmer un super week-end.

Et je pense à tout ce temps depuis lequel il me tarabuste avec toutes ses histoires, « que je ne prends jamais d’initiatives, qu’il aimerait bien réveiller nos imaginations, qu’il aimerait bien être tout à moi, que je sois une Maîtresse, que je le domine et patati et patata… ». Puisque je suis toute seule avec moi-même en ce moment et qu’il ronfle sans se préoccuper de moi, je me décide cette semaine à le prendre au mot et à essayer d’aller jusqu’au bout. Il veut que je prenne des initiatives, que je sois LA Princesse et que je le fasse marner. Eh bien il va marner, et moi je vais en profiter à fond !

Une demi-heure plus tard, après avoir laissé libre cours à de folles pensées, je me lève doucement. Je suis sous la douche et je pense à la manière de m’y prendre. Ce n’est pas si facile de lui dire en face ce que j’ai derrière la tête. Je vais le faire par SMS, ce sera plus facile avec la distance que procure la messagerie.

Dans le métro en allant au travail, je tape :

« Je vais te prendre au mot, tu l’as suffisamment voulu et demandé : ce week-end tu vas m’appartenir. Je serai LA Princesse. Et si tu veux que j’aie la moindre mansuétude avec toi, il va falloir être gentil tout plein… autrement, rien du tout pour le zizi pan-pan. Tu vas t’engager à m’obéir en tout point pendant 24 heures de vendredi soir à samedi soir. En attendant, tu vas être prévenant et attentif pendant ces trois jours, autrement je ne serai pas tendre du tout. »

Quelques minutes plus tard je complète :

« Je veux que tu m’écrives que tu t’engages à accepter par avance tout ce que je voudrai. Tu vas jurer de m’obéir en tout et de subir tout ce qui me passera par la tête. Tu accepteras toute punition de ma part, que ce soit parce que tu n’auras pas été obéissant ou tout simplement parce que j’en aurai le caprice. Dans tous les cas ce sera mérité puisque je l’aurai décidé ! »

J’envoie le SMS. Bigre, je me suis lâchée !

Quelques minutes plus tard un SMS en retour :

« Bien sûr ma Princesse, je suis tout émoustillé. Je t’envoie l’engagement par SMS ou par écrit ? »

Je pèse les choses et je réponds :

« Par écrit, tu vas me ramener une lettre manuscrite dans une enveloppe ce soir. »

Le f o r c e r à coucher sur le papier son abdication est bien plus rigolo. Si cela se trouve, il va en mettre encore plus que je n’en aurais exigé et, en cas de besoin, je pourrai lui ressortir ce à quoi il se sera lui-même engagé.

Jeudi

Hier soir, il était incroyablement tendre en rentrant, me regardant comme un gamin regarde une pâtisserie dans la vitrine. J’ai bien vu le gonflement qu’il avait dans son pantalon lorsqu’il m’a remis sa lettre. J’ai délibérément omis d’ouvrir l’enveloppe, je l’ai juste mise dans mon sac sans rien dire et j’ai surtout évité d’y faire la moindre allusion pendant toute la soirée. Il en était visiblement dépité. Il me tarde de la lire mais je pense que la pression sera d’autant plus efficace qu’il sera dans le noir. Quant à sa bosse, je l’ai caressée amoureusement en lui disant :

— Tu as l’air en forme. Mais il faut te réserver pour ce week-end.

Et je me suis esquivée en riant alors qu’il essayait de m’embrasser. Pour l’instant : opération frustration…

Mmm, je me laisse bercer par les trépidations de la rame de métro. Je m’imagine le chevauchant en me frottant le minou contre son nez alors qu’il est complètement immobilisé… Il étouffe à moitié sous moi mais la pression monte, je me procure une explosion intérieure… Mmmm ! Mais il faudra qu’il se maîtrise, il est capable de partir si rapidement parfois… Je tapote mon clavier :

« Au lieu de manger à midi, tu vas te rendre au BHV-hommes et tu vas te choisir un joli petit string, je suis gentille je te laisse le choix du modèle. En revanche pour la taille, au lieu de ton L habituel ce sera du M ; cela te permettra de mieux te contenir. »

Hi-hi !

Arrivée au travail. Un SMS :

« Je veux bien pour le string, mais au fait, tu as lu ma lettre ? »

Je ne lui réponds pas, je vais le laisser mariner. Je me concentre toute la journée sur mon travail. Avant de rentrer le soir tard, je lui ai envoyé un nouveau SMS :

« J’espère que tu ne rentreras pas à la maison sans m’acheter un petit cadeau. Sinon, gare à toi, je risque d’être méchante ce week-end ! »

Et, comme de bien entendu (c’est formidable comme il est manipulable dès qu’on le provoque un peu), en arrivant je découvre mon bonhomme avec un très beau cadeau : une magnifique orchidée blanche toute simple comme je les aime. Il me la remet tout transi. Je décide de le remercier mais à ma façon. Je lui administre un baiser profond en lui fouillant sa bouche avec ma langue tout en lui malaxant la bosse. Il tente de me prendre dans ses bras pour répondre à ma caresse mais je lui prends les mains que je lui repousse dans le dos.

— Pas touche ! Je veux que ta forme se maintienne, ne perds pas trop d’énergie.

Et je me recule en riant.

— Au fait, demain matin tu porteras le petit cadeau que tu t’es fait. Non, ne me le montre pas, ce sera une surprise.

Toute la soirée, je m’excite en l’aguichant sans arrêt. Je le frôle, je lui fais des clins d’œil, je me lèche langoureusement les doigts en le regardant droit dans les yeux, je fais semblant de me caresser. Et à chaque fois qu’il tente une approche, je le remets à sa place. À la fin de la soirée, je suis moi-même à moitié folle. Je ne vais jamais pouvoir attendre jusqu’à demain soir…

Vendredi

Je suis dans la salle de bains. Douche ou pas douche ? Allez, je vais m’amuser, pas douche ! Il va être surpris lorsqu’il va découvrir mon parfum…

Vers 9 heures, je n’arrive pas à me concentrer. Je pense à ce qui va débuter ce soir. Il va falloir que je la joue serrée si je veux bien maîtriser les choses. Pour bien faire, il faudrait qu’il perde le contrôle. Le meilleur moyen est qu’il pense à moi toute la journée et qu’il devienne obsédé d’attendre ce soir si je veux qu’il soit suffisamment malléable. Je lui envoie un SMS :

« Je veux un SMS amoureux toutes les heures jusqu’à ce soir, sinon… »

Avec ça, le connaissant, je suis sûre qu’il va être excité comme une puce et qu’il ne va pas voir passer la journée.

15 heures, un nouveau SMS, il me promet encore une fois de me faire monts et merveilles avec sa langue… J’en suis toute retournée, j’ai la culotte qui doit être trempée… Il me tarde d’être à ce soir ! Mais je n’en fais rien paraître dans ma réponse :

« Pense plutôt au repas que tu vas me préparer, il a intérêt à être bon, la bagatelle ce sera pour plus tard, si je veux et quand je veux. »

Je reste pensive en pensant à la soirée et recompose un autre SMS quelques minutes plus tard :

« Ce soir je veux que tu sois docile et impeccable en tout, car sinon gare ! Et je veux que tu sois accessible et à ma totale disposition. Tu vas t’habiller juste d’un tablier, fesses nues. Mais avec quand même ton string pour que tu puisses te contrôler, je te connais. »

19 heures, je vais rentrer, il doit avoir eu le temps de préparer la soirée.

19 heures 30, je sonne à la porte. Remue-ménage à l’intérieur de l’appartement, l’œilleton s’obscurcit : il doit s’affoler en pensant que c’est quelqu’un d’autre, d’habitude je ne sonne jamais et je rentre avec mes clefs. Ça y est, il m’a vue et il ouvre précautionneusement en évitant de se montrer au-dehors. Il est vêtu comme je le lui ai demandé, avec seulement son tablier. Je m’attarde sur le pas de la porte et je lui demande de venir m’embrasser. Pour cela, il est obligé de s’avancer un peu sur le palier. Je le sens tout tremblant de peur qu’on nous voie ou que la voisine sorte. Je lui fouille la bouche avec ma langue tout en lui tâtant les parties sous le tablier. C’est bien, il est emmailloté très serré, exactement comme je le lui avais demandé. Et cela a l’air d’être de la vraie lingerie ! Je le fais se retourner et je lui caresse les fesses toujours devant la porte. Il est tout crispé le chéri.

Dès que je suis rentrée, je lui donne mon manteau à ranger et je commence à arpenter l’appartement d’un air inquisiteur. Le feu est allumé, rien à dire. Les stores sont baissés, quelques bougies sont allumées, un apéritif est préparé sur la table basse, avec ma bouteille de whisky préféré. Je vois que la cuisine est bien avancée… Voyons, qu’est-ce que je peux lui reprocher ?

— Je voulais du champagne. Tu crois que je prépare ce week-end depuis trois jours pour avoir droit à ce vulgaire whisky ? Dépêche-toi d’aller me chercher une bouteille à la cave, tu la feras rafraîchir au congélateur. Mais d’abord, dis-moi pardon… À genoux, vite…

Positionné ainsi devant moi qui me suis assise sur le canapé, sa poitrine est juste à hauteur de mes mains. Je saisis brusquement ses tétins et les roule fortement entre mes doigts. Il ne peut maîtriser un petit cri et ses yeux s’humidifient. Comme il est sensible le petit chéri. Mais c’est bien lui qui l’a voulu… Je le f o r c e à baisser la tête jusqu’à baiser mes pieds, le dominant de toute ma hauteur, moi habillée, lui avec son derrière sortant de sous le tablier.

— Vilain, tiens !

Et je lui donne quelques tapes sur son postérieur. Qu’elles sont tentantes ces fesses, je les explore et les parcours de mes mains ; il se cambre pour recevoir mes caresses. C’est formidable cette partie du corps de l’homme, ils ne s’en rendent pas compte mais c’est ce qu’il y a de plus érotique en eux.

— Redresse-toi, debout !

Il se tient devant moi et maintenant ce sont ses parties qui sont à portée de main. Je pars en exploration sous le tablier et je découvre une magnifique érection.

— Tiens, tiens, qu’est-ce que c’est que ça, tu es tout raide. Tu aimes ça, être puni ? Et baisse les yeux quand je te parle ! Je ne t’ai pas autorisé à bander tu sais… Tu vas voir quand on prend des initiatives sans mon autorisation.

Je parcours la table du regard et vois les glaçons dans le bol. Avec cela, il ne tarde pas à dégonfler. Je me laisse aller dans le canapé, l’observant du coin de l’œil. Comme c’est amusant d’être la Princesse.

— Tu vois, si tu ne me demandes pas, je te punis. Tu ne dois prendre aucune initiative, même pour aller faire pipi je veux que tu demandes. D’abord, si cela m’amuse de te faire attendre, tu attendras. Et je pourrai ainsi surveiller que tu fais bien assis comme une fille.

Il me regarde d’un air contrit. Je me lève alors, me colle contre lui et lui fais plein de petits bisous.

— Tu sais, je t’aime beaucoup. Et plus encore quand tu es bien obéissant comme ça.

Le laissant aller chercher le champagne et finir de préparer le dîner, je m’isole dans la chambre pour me préparer. Pas besoin de culotte, je veux qu’il puisse accéder à mon intimité lorsque je le voudrai. Un soutien-gorge sans bonnets, juste pour maintenir les seins tout en les laissant presque libres sous un large chemiser de soie. Une jupe longue et large pour ne dévoiler que ce que je voudrai et quand je voudrai. Et des talons hauts qui me permettront de le dominer largement, surtout si je lui interdis les chaussures.

Je cherche différents accessoires amusants pour lui faire bien sentir sa pauvre condition : un anneau à mettre à la base du sexe et qui peut facilement servir à y mettre une laisse et à l’attacher à un point fixe, des menottes souples, un collier autour du cou pour y attacher les menottes : avec les mains attachées comme ça autour du cou, il lui restera juste un peu de mobilité pour venir m’honorer mais tout le bas de son corps sera totalement indéfendable et vulnérable. Une ou deux pinces à linge pour voir quelle est la résistance de ses tétons… Je vais explorer plein de possibilités pour voir quelles sont ses limites, il m’a suffisamment dit que je pouvais tout faire !

Samedi matin

Je sens qu’il est réveillé, il s’agite en permanence… La soirée d’hier a été divine. Avec l’apéritif où il a découvert sous ma large jupe comment j’étais mouillée, et odorante ! Le dîner pendant lequel il m’a fidèlement servie mais avec quelques maladresses qui m’ont servi de prétexte à le punir de quelques fessées et à refuser ses misérables avances. Pourtant, il était excité, le pauvre, avec toutes les provocations que je lui ai infligées. Sa queue était monstrueusement bandée en permanence.

À le faire tourner en bourrique avec des ordres et des contrordres, j’ai réussi à trouver toutes les raisons de le punir en lui interdisant tout acte sexuel pour la soirée. En revanche, moi je ne me suis pas privée. Je l’ai enroulé dans du film alimentaire transparent pour le saucissonner complètement sur le lit. Une fois qu’il a été complètement à ma merci, je me suis longuement frottée sur lui, je l’ai obligé à me lécher les tétons, les cuisses, les fesses, le minou… Je me suis amusée à l’étouffer sous mes fesses et entre mes cuisses. Ses mouvements spasmodiques pour se délivrer me procuraient un effet divin.

Quand j’en ai eu terminé, je l’ai laissé soudain dans le noir immobilisé, sans rien lui dire et je suis allée voir la télévision dans le salon. Naturellement, quand j’ai enfin consenti à aller le délivrer, il a fallu qu’il se rebelle, protestant que c’était injuste, qu’il était depuis une heure sans savoir ce qui se passait, qu’il voulait pouvoir se soulager… Mais avec fermeté, je lui ai fait comprendre que c’était moi qui commandais. Je n’ai même pas eu besoin de le menacer du martinet. Je lui ai ressorti sa lettre :

— Tu vois, j’ai bien lu ce que tu as toi-même écrit, tu t’es engagé à m’obéir en tout, à tout supporter et à être totalement à moi. Pour cette fin de soirée, j’ai envie juste de regarder la télé. Si tu ne te calmes pas, fais attention je te laisserai sur ta faim demain aussi… Et en attendant, si tu n’es pas parfaitement sage dans le lit, tu vas aller coucher dans la chambre d’amis.

Ça l’a à peu près calmé et il a fini par s’y résoudre, même si je l’ai entendu soupirer toute la soirée et que je sentais sa queue toute raide lorsqu’il tentait de venir se mettre en cuillère contre mes fesses. En temps ordinaire j’adore sentir sa raideur contre moi, mais dans l’état où il était, j’ai préféré lui imposer de garder son string et lui interdire de m’approcher.

Le jour n’est pas encore levé et il continue de s’agiter dans le noir. Quelle heure est-il ? Huit heures et demie. Je n’en peux plus, je suis toute chaude et excitée à l’entendre remuer comme ça. Je me mets sur le dos, dégage la couette, écarte les cuisses et tourne la tête vers lui.

— Comment on dit bonjour à sa Princesse le matin ? Viens vite me faire des bisous sur le minou !

Après un très bon petit-déjeuner avec les croissants qu’il est allé me chercher, je le fais s’agenouiller devant moi, le tenant par le menton.

— J’ai envie d’aller faire du shopping. Tu vas m’accompagner, tu marcheras deux pas derrière moi, tu porteras les paquets, tu ne râleras pas, tu seras à ma disposition. Ce sera agréable… au moins pour moi… Habille-toi avec les habits que je t’ai sortis.

— Mais, il y a un string de fille ! geint-il.

— Oui, et alors ? Je me réjouis par avance d’aller te faire essayer des pantalons dans les magasins. Je vais bien rire de te sentir inquiet qu’on découvre comment tu es attifé. Tu es sexy, tu sais… Et puis on ira visiter une ou deux boutiques d’objets érotiques et de vêtements coquins. Il y a des accessoires en cuir et en métal pour hommes dont je ne comprends absolument pas l’usage… Je vais me faire un plaisir d’y aller avec toi. Ce sera très amusant de voir ta tête quand je demanderai des explications au vendeur et qu’il comprendra évidemment que c’est pour toi que je me renseigne ! Et je vais peut-être acheter par la même occasion un petit accessoire vibrant parce que… tu ne me sers pas à grand-chose en ce moment…

Il est en train de s’habiller et je me programme la journée : une petite gâterie encore avant le déjeuner. Je vais sans doute acheter effectivement ce sextoy tout doux en silicone qui me tente depuis longtemps. Je sens que je vais le rendre complètement fou en me caressant devant lui alors qu’il sera immobilisé. S’il regarde bien, je lui ferai peut-être goûter en récompense mon jus intime sur mes doigts. Ce sera un bien meilleur spectacle que le rugby !

Et puis ce soir, on verra s’il a été sage…

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